mercredi 27 janvier 2016

[Bouquin] « Queen Betsy » tome 3 et 4, de Mary Janice Davidson


 
"C'est toi qui est irrécupérable!"

            Ayant apprécié les aventures de Betsy dans les deux premiers tomes, j’ai souhaité en connaître la suite avec les tomes 3 et 4 (« Vampire et complexée » et « Vampire et irrécupérable », eux aussi disponibles dans un volume double.)

            Je n’ai pas été déçue de ma lecture. Betsy peut se montrer agaçante mais a un humour sarcastique qui me fait beaucoup rire. Dans ces tomes 3 et 4, vous apprendrez que Betsy a une demi-sœur enfantée par Satan ; et vous la suivrez aux trousses d’un serial killer, aidée du fantôme de l’une de ses victimes. N’ayez crainte, c’est annoncé au dos du bouquin donc je ne spoile pas.

            Il est clair que « Queen Betsy » n’est pas un livre époustouflant qui invite à réflexion. C’est de la bit-lit, il faut aimer les histoires de vampires et autres créatures obscures. Néanmoins les péripéties de Betsy peuvent faire passer un très bon moment à quelqu’un ayant envie de lire une histoire drôle et légère.

         Attention toutefois, je préfère rappeler que ce n’est pas destiné à un public adolescent. L’apparence de la couverture pourrait être trompeuse et j’ai vu cette série rangée au rayon jeunesse. Or, les scènes sexuelles sont nombreuses et très explicites. À réserver donc à un public en âge d’apprécier les ébats bruts de décoffrage de Betsy et son chéri ^^

Et sinon, je me suis réconciliée avec Mary Janice après avoir lu les lignes suivantes : « J’utilise de l’extrait de vanille en guise de parfum. Ce n’est pas cher et ce n’est pas testé sur les lapins, m’expliqua-t-elle sérieusement. »[1] Allez Mary Janice, je te pardonne tes propos un peu douteux sur l’expérimentation animale dans le tome 2.

            Je recommande donc les tomes 3 et 4 de la saga « Queen Betsy », surtout si vous avez aimé les deux premiers tomes.

            Longues-quenottes-ment vôtre,

            Solaena


[1] Mary Janice Davidson, Queen Betsy, tome 3 Vampire et complexée, 2011, Milady, p. 142, l. 12 à 14




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