Étant
tentée de diversifier mes lectures avec des livres « classiques »,
j’ai pensé à Agatha Christie dont je n’ai lu qu’un seul livre : « La mort n’est pas une fin ».
Un livre que j’avais dû lire il y a plus de 15 ans à l’école et qui m’avait
beaucoup plus… au point d’avoir eu envie de le relire ^^
L’histoire
se passe en Egypte ancienne : après la mort de son mari, Renisenb revient
vivre au sein de la demeure familiale. Peu après son retour, son père rentre
d’un long voyage d’affaire, accompagnée de sa nouvelle concubine Nofret. Nofret
qui est une véritable garce à faire pâlir les biatchs des feux de l’amour ; Nofret qui va vite faire un
petit plongeon en bas d’une falaise. Un membre de la famille en a manifestement
eu ras le pompon de son comportement odieux. Problème : cette personne
semble avoir pris goût au meurtre. Mais lequel ?
Si
je me souvenais avoir dévoré ce roman il y a 15 ans ; je me rappelle aussi
qu’il a été l’objet de mon tout premier spoiler : une copine de classe
m’avait révélé qui était coupable, et ce alors que j’avais presque fini le
livre. Je l’aurais bien étripée.
Après
relecture, ce roman m’a moins passionnée mais j’ai passé un bon moment.
Renisenb, personnage central, m’a semblée un tantinet trop cucul-la-praline
(mais faut dire qu’il y a 15 ans, je croyais encore au prince charmant ^^). Le
contexte égyptien me plait beaucoup, c’est une civilisation que je trouve aussi
fascinante que mystérieuse.
Pour
le reste, « La mort n’est pas une
fin » offre une enquête de type « où tout le monde
s’accuse » assez basique mais sympa à lire. La psychologie des personnages
est intéressante à analyser.
Et
si vous vous posez la question : oui, j’ai gardé ce livre depuis tout ce
temps, en témoigne les conneries d’adolescente que j’ai écrit dedans ^^
Cet-article-n’est-pas-une-fin-
ment vôtre,
Solaena
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